Nous sommes en retrait lointains et présents
dans la transparence nubile qui révèle
l'oscillation de l'être impénétré
Ces vers d'un réputé poète portugais, par le seul fait que je ne peux en trouver ni intérêt ni sens, prouvent ma bêtise et mon ignorance (pléonasme?) Si vous, par don ou par effort, parveniez à dépasser votre impénétration oscillatoire, vous seriez gentil de m'en faire part.
Autrement, ça va, c'est l'été (la transparence nubile?) les oiseaux chantent, et ma vieille caisse a passé avec succès son contrôle technique. À la nuit tombée je regarde les avions qui clignotent dans le ciel, et je me demande si ces gens savent qu'ils sont des dieux.
William Brown
Hypothèse probable : c'est un extrait d'un vieux dicton de Macao qui annonce que le temps va se gâter : Quand la transparence nubile révèle l'oscillation de l'être impénétré, c'est signe d'eau !
RépondreSupprimerÇa me rappelle le jeu avec les mots inconnus sur Biloba...
SupprimerÀ quoi ça rime, en effet... rassure-toi, ces vers ne prouvent ni l'une ni l'autre.
RépondreSupprimerOuf. Merci.
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