à cette part résiduelle qui nous ressemble encore au bout de nos fatigues et des journées perdues,
à cette part que nous voudrions croire aussi irréductible qu'elle est rebelle aux injonctions des modes,
rétive aux rêves qu'on affrète pour nous perdre
et qui nous fait chercher des mots pour tenter dans la foule
d'aller réveiller en chacun le poète qui s'est tu.
L'occasion de nous souvenir de Michel Baglin dont la réflexion nous interpelle ici...
RépondreSupprimerEncore qui est passé à Durcet (signé Oncle Ben's)
RépondreSupprimervoilà des vracs bien réjouissa
RépondreSupprimerah je me suis fais surprendre. Bien réjouissants donc et stimulants aussi.
RépondreSupprimerV'là l'été
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