Je lui ai dit vouloir connaître l’art du zen
il a relevé la tête
son sourire était sincère
il a relevé la tête
son sourire était sincère
laisse ton reflet à l’araignée
ton ombre au pas feutré du chat
laisse-les finir ainsi
abandonnés comme des vieux rêves
ton ombre au pas feutré du chat
laisse-les finir ainsi
abandonnés comme des vieux rêves
et tire un peu
sur l’élastique de ton jeune cœur
sur l’élastique de ton jeune cœur
puis le vent a chahuté
son feuillage et sa vieille barbe
son feuillage et sa vieille barbe
avant que les colombes rassurées n’y reviennent
méditer
Subtile référence au gars Arthur dans "Ma bohème"...
RépondreSupprimer.../...Comme des lyres, je tirais les élastiques
De mes souliers blessés, un pied près de mon coeur !"
Ah, là, pas fait exprès. En revanche, dans Autre chose qui compte il y en a une (cinéma en plein air.) Bon chemin poétique, demain.
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