Sans oublier Jacques Prévert, Max Ernst, Karel Teige, Jindrich Styrsky, Claude Pellieu et bien d'autres.
J'en profite pour souligner que la totalité des collages sélectionnés pour ces séquences sont tous des enfants de la colle et du ciseau, les numériquesrelevant à mon avis plus du photomontage.
Notre corps ne serait paraît-il qu'un biotope ambulant, habitat d'une myriade de micro-organismes nommée "microbiote." Si c'est le cas, vous aller devoir payer votre voyage les minus: hors de question que je vous transporte à l'œil.
1/ À la mort de Pompidou j'étais en classe de cinquième. Toujours dans la lune, et malade comme un chien dans les Citroën à suspensions hydrauliques (la petite histoire vaut bien la grande.)
2/ Une pensée pour une chatte noire nommée la Callas.
Equilibre. Je pense en particulier à celui du monde vivant, totalement exclus des débats. À celui, plus personnel, entre le mental et le matériel. À l'artiste toujours surfant sur une vague d'attention. Au touareg dans son désert – car est propriétaire d'un lieu celui qui l'aime...
Remerciement à tous ces collagistes rencontrés sur le net, qui œuvrent à contre-courant pour le plaisir de l'esprit, et souvent en prenant subtilement position.
Tout est une fête de tous les instants. Il n'y a plus guère de place pour la pensée, l'apprentissage de soi. Quelle importance, d'ailleurs, puisque tout est une fête de tous les instants (effet pub.)